L'UBT renforce sa position au congrès mondial de l'ITF à Marrakech
Découvrez notre initiative « Social Class Heroes » en Flandre orientale
Flexi-jobs dans le secteur des bus et des cars: le scénario du pire se concrétise
Lutte contre le dumping social: les travailleurs européens exigent des mesures
Loi colis 2024 : obligation d’enregistrer le temps de distribution
Kathleen Van Brempt et les ouvriers portuaires réfléchissent ensemble à l’avenir du port
L'UBT Port d'Antwerpen suit la situation de près avec son roadshow
Renforcer l'UBT Secteur Maritime avec un jeune talent pour le travail frontalier et le soutien fiscal
Maintenant que les élections communales sont passées, l'heure est venue pour les politiciens de prendre leurs responsabilités pour rendre le secteur du transport plus social, plus durable et plus juste.
Wallonie : aucune vague bleue à l'horizon !
Il n’y aura finalement pas eu de vague bleue en Wallonie. Apparemment, les électeurs wallons ont déjà compris que leur vote de protestation en faveur de Georges-Louis Bouchez aux élections fédérales et régionales ne leur apportera que des ennuis. La « vague bleue » annoncée s'est bel et bien heurtée à un mur rouge. Le Parti Socialiste a été en mesure d'enrayer son déclin et de conserver le contrôle de plusieurs villes wallonnes, que Bouchez avait pourtant promis de reprendre pour un certain temps. Il a également perdu son match à domicile à Mons, où le PS reste le plus grand parti, au grand regret de ceux qui l'envient.
Le Vlaams Belang marque des points avec un faux récit en Flandre !
Que Ninove ait dorénavant un fasciste comme bourgmestre est une tragédie sans nom. Une tragédie non seulement pour les Ninovois, mais aussi pour la démocratie ! Les électeurs peuvent apparemment être facilement dupés par un discours d'exclusion et d'intolérance. Surtout là où les problèmes sociaux sont négligés. Même dans d'autres villes comme Alost, Denderleeuw, Termonde et Grammont, le même Vals Belang obtient des scores bien trop élevés !
Comme l'indique à juste titre Miranda Ulens (FGTB) : « La démocratie, c'est bien plus que voter le jour des élections. (...) C'est aussi protéger les valeurs et les fondements de ceux qui la rendent possible. Protéger la liberté d'expression est essentiel, mais que faire si celle-ci est utilisée pour opprimer les autres ? Comment protéger les personnes d'autres origines, d'autres croyances, les ASBL critiques ... ? »
À l’UBT-FGTB, nous appelons tous les partis démocratiques à unir leurs forces pour stopper la montée de l'extrême droite ! En d'autres termes : maintenir le cordon sanitaire ! Donc tout sauf lécher les bottes de ces fascistes. Nous aspirons à une société tolérante. Car c'est ainsi que sont les vrais Flamands, les vrais Wallons et les vrais Belges. Chaleureux, conviviaux et hospitaliers. Nous ne sommes pas des pisse‑vinaigre, nous n'avons que faire de l'humeur maussade de l'extrême droite !
Barre la route au Vlaams Belang, c'est également possible ! Preuve en est lors de ces élections dans des villes comme Gand, Malines et Anvers... où les fascistes perdent du terrain. Tout commence par une tolérance zéro envers l'extrême droite, y compris au sein de notre syndicat.
Pas question d’acheter un chat dans un sac au fédéral !
En Wallonie, nous avons déjà un gouvernement très à droite dirigé par Georges-Louis Bouchez. Comme nous l'avons dit, les électeurs wallons ont déjà réalisé qu'ils avaient acheté un chat dans un sac en avalant le récit populiste du MR. Nous ne pouvons qu'espérer que Les Engagés restent suffisamment engagés socialement pour éviter un chaos social, bien que nous ayons des doutes à ce sujet.
Les socialistes de Vooruit siègent au Gouvernement flamand. L’UBT-FGTB a évalué l'accord de coalition et celui-ci est modérément positif, bien que certaines mesures très antisociales soient également sur la table. Nous avons également transmis aux Excellences flamandes le mémorandum de l'UBT, pour inspirer leurs notes politiques.
Une «coalition Arizona» est en cours de négociation au fédéral. Les efforts de Vooruit pour mettre l'accent sur les aspects sociaux dans l'accord de coalition ne semblent pas vraiment porter leurs fruits. Ce qui a fuité jusqu'à présent n'est pas très prometteur: hyperflexibilité, chasse aux chômeurs ... Cela n'a rien d'étonnant, le MR et la N-VA sont tous deux des partis bleu foncé qui voient là une opportunité d'éradiquer un certain nombre d'acquis sociaux.
Il est temps que le PS prenne ses responsabilités !
Au vu du résultat positif des élections communales, le PS serait bien inspiré de reconsidérer sa décision de ne pas entrer dans un gouvernement fédéral. Deux partis socialistes à la table des négociations seraient plus forts pour contrer la droite !
Quoi qu'il en soit, au fédéral, l’UBT-FGTB ne voudra pas acheter un chat dans un sac. Tout gouvernement se heurtera à nous si la politique vire trop à droite ! Nous aurons prévenu.
Frank Moreels
Président de l'UBT
Lors du Congrès mondial de l'ITF à Marrakech, au Maroc, l'UBT a renforcé sa position au sein de la Fédération internationale des ouvriers du transport (ITF) sur tous les fronts. Outre l'établissement de nouveaux contacts et le développement de nouvelles visions, l'UBT a obtenu d'importants mandats au sein de diverses sections de l'ITF, ce qui lui a permis d'accroître encore son influence internationale.
Le président de 'UBT, Frank Moreels, prendra le relais de Paddy Crumlin en 2027, une étape importante qui donne à l'UBT une voix forte sur la scène mondiale. Nick Loridan a été réélu coprésident des dockers de moins de 35 ans au sein de la section des dockers de l'ITF et s'est également vu confier la coprésidence de la section mondiale des jeunes travailleurs de l'ITF. Tom Peeters s'est vu confier un mandat au sein du Comité directeur de l'ITF pour l'entreposage et la logistique, tandis que Jacques Kerkhof, secrétaire fédéral du secteur maritime au sein de l'UBT, a été élu nouveau président du Comité de la navigation intérieure de l'ITF. En outre, Stephanie Vanden Eede a été élue au Comité des femmes de l'ITF, ce qui signifie que l'UBT continue à jouer un rôle important en matière d'égalité des sexes.
L'UBT souligne l'importance de sa présence sur la scène mondiale. « Le transport dépasse nos frontières nationales et européennes. Si nous voulons obtenir le meilleur pour nos membres, nous devons être présents à la table des négociations pour contribuer à l'élaboration des politiques et garantir un avenir équitable à tous les travailleurs du transport », a déclaré Frank Moreels, président de l'UBT et futur président de l'ITF.
Les ouvriers portuaires gantois et les collaborateurs UBT transport et logistique s’engagent activement en faveur d'une société inclusive au travers de leur nouvelle initiative « Social Class Heroes ». Durant les Gentse Feesten, ils ont emmené vingt jeunes pour une journée de détente, en collaboration avec Habbelkrats. Au programme : auto-tamponneuses, croustillons et surtout une bonne dose d’insouciance. Steven Steyaert, secrétaire : « Durant une journée, les jeunes ont pu laisser tous leurs soucis de côté et tous ces sourires resteront gravés. »
Par ailleurs, les bénévoles ont offert cinquante plumiers à des jeunes par l’intermédiaire d'écoles inclusives, afin de leur permettre de démarrer l'école scolaire de la bonne manière. Leur prochaine action ? Distribuer à des enfants des boîtes à tartines remplies, afin qu’aucun enfant ne doive se rendre à l'école sans rien avoir à manger. Les recettes de la vente des porte-clés portant le logo « Social Class Heroes » sont consacrées à ces projets.
Nous vivons dans une société où nous sommes de plus en plus interconnectés, mais ces connexions ne sont pas toujours réparties de manière équitable. Dans un monde peuplé de huit milliards d’habitants, l’inégalité demeure une problématique essentielle. La classe sociale, le sexe, les origines et le lieu de résidence restent déterminants quant aux chances pour un individu de mener une vie décente, de trouver un travail et d’avoir accès aux soins de santé.
L’immigration constitue une thématique importante dans le livre de Frank Moreels « Le monde est à nous. Souvent perçue comme une menace, l’immigration peut au contraire être une opportunité. Les grandes vagues migratoires résultent souvent d’une situation de guerre et de pauvreté, d'une situation sans espoir. Pourtant, de nombreux pays riches ferment leurs frontières au lieu de rebondir sur ces flux migratoires pour compenser la pénurie de main-d'œuvre due au vieillissement de la population.
Il convient de s’attaquer aux causes sous-jacentes de l’immigration (pauvreté, guerre et inégalités). Une sorte de Plan Marshall, comme après la deuxième guerre mondiale, permettrait de soutenir les pays en difficulté et de réduire les flux migratoires.
Toutefois, l’immigration n’est qu’un volet de la discussion plus vaste relative aux inégalités. Curieux de découvrir les liens qui existent en Europe et dans le monde et les opportunités ainsi offertes ? Lisez plus d'informations à ce propos dans le chapitre 6 du livre sur le site. Ce chapitre vous met au défi de réfléchir au-delà des frontières et de chercher des solutions aux inégalités qui nous concernent tous.
Six mois après l’introduction des flexi-jobs dans le secteur des bus et des cars (CP 140.01), les effets négatifs pressentis apparaissent. Le nombre de flexi-jobs a augmenté de 89 % durant le deuxième trimestre de 2024 (on en dénombre 2340) et le nombre d’employeurs recourant à ce système est également en forte hausse.
Les flexi-jobs supplantent les emplois réguliers
Les chiffres démontrent que les flexi-jobs supplantent les emplois réguliers. La part de flexi-jobs est passée de 6,58 % durant le premier trimestre à 12,43 % durant le deuxième. Une tendance inquiétante, surtout quand on sait que les flexi-jobs coûtent moins cher aux employeurs et offrent moins de droits aux travailleurs. De plus, ils entravent l’insertion de nouveaux chauffeurs dans le cadre de contrats à part entière, en particulier en Flandre où le nombre de reconversions en tant que chauffeur est limité.
Pas seulement des pensionnés
Bien que beaucoup de flexi-jobistes soient des pensionnés, il apparaît que 51 % d’entre eux ont moins de 65 ans et proviennent souvent d’autres secteurs. De plus en plus de gens optent pour des flexi-jobs en plus de leur emploi régulier pour avoir un revenu complémentaire fiscalement avantageux, ce qui a pour effet de supplanter à nouveau des emplois réguliers.
Le tsunami attendu
On prévoit une nouvelle hausse du nombre de flexi-jobistes à partir du troisième trimestre, dans la mesure où la période de quarantaine pour les chauffeurs de bus et de cars passant d'un temps plein à un 4/5e arrive à échéance. Il n'y a pas de limites à l’utilisation des flexi-jobs au sein des entreprises, de sorte que ces contrats risquent d’inonder le secteur.
La menace du dumping social
Les emplois à temps partiel deviennent une forme de dumping social interne. Dans des secteurs comme le transport, notamment chez De Lijn, les flexi-jobs minent les conditions de travail et de rémunération et créent une concurrence déloyale.
Nous appelons le gouvernement à revoir le système et à stopper toute nouvelle prolifération.
Plus de 750 travailleurs de toute l’Europe se sont récemment rassemblés à Strasbourg pour exiger des mesures contre le dumping social. Des syndicats comme la Fédération européenne des travailleurs du bâtiment et du bois (EFBH) et la Fédération européenne des travailleurs des transports (ETF) ont organisé cette manifestation pour protester contre l’exploitation dans les chaînes de sous-traitance et la médiation du travail.
Le danger des longues chaînes de sous-traitance
Les entreprises recourent à des structures de sous-traitance complexes pour réduire les salaires et échapper à leurs responsabilités. Un exemple criant est celui de l’entreprise chimique Borealis, au sein de laquelle on a découvert 170 victimes de traite des êtres humains. Des abus continuent aussi d’être constatés dans le secteur du transport, comme l’a révélé la manifestation des chauffeurs de poids lourds en Allemagne qui n’avaient pas été payés durant des mois.
Les syndicats exigent des mesures
Les syndicats appellent à une réglementation stricte de la médiation du travail, à un renforcement des services d’inspection et à l’introduction d’une responsabilité solidaire par rapport aux salaires. Cette dernière permettrait de protéger les travailleurs en leur donnant la possibilité de réclamer leur salaire auprès d’entreprises situées plus haut dans la chaîne.
Le message est clair : il est urgent de prendre des mesures au niveau européen pour mettre fin au dumping social et à l’exploitation de travailleurs.
Le Fonds social Transport et Logistique (FSTL) fête le premier anniversaire du programme de formation fructueux intitulé « Future Drivers ». Cette initiative lancée en 2023 a pour but de former des travailleurs d’autres secteurs au métier de chauffeur de poids lourd. Durant la première année, 140 candidats ont obtenu leur permis C et CE, une étape importante dans la lutte contre la pénurie de chauffeurs en Belgique.
Une réponse à la pénurie de chauffeurs
Cela fait des années que le secteur du transport est confronté à une pénurie de chauffeurs de poids lourds, avec actuellement quelque 5.000 postes à pourvoir. Pour y remédier, le FSTL investit dans divers programmes de formation. L’une de ces initiatives, Future Drivers, est axée spécifiquement sur les personnes venant d’autres secteurs et souhaitant se reconvertir. La formation, qui coûte normalement 7.000 EUR, est entièrement financée par le FSTL.
Grand intérêt et sélection sévère
Depuis le lancement, plus de 500 personnes se sont manifestées via la plateforme en ligne de Future Drivers. Parmi ce groupe, 140 candidats ont été soigneusement sélectionnés sur la base de leur motivation et de leur disposition à suivre la formation en plus de leur travail actuel, souvent le soir et le week-end. Vu la demande croissante de nouveaux chauffeurs, l’initiative Future Drivers contribuera sans aucun doute à l’insertion de professionnels motivés et qualifiés.
formation Future Drivers réussie
« J'ai participé à la formation "Future Drivers" car je voulais devenir chauffeur poids lourd depuis mon plus jeune âge, mais cela n'a jamais été possible financièrement. Même si la formation m'a beaucoup plu, l'accompagnement n'était pas toujours au rendez-vous. Heureusement, de meilleurs conseils m'ont été donnés par la suite, ce qui m'a finalement permis de réussir la formation. Depuis le 22 mai 2023, je travaille comme chauffeur de distribution ».
Avec l’entrée en vigueur le 1er août 2024 de la nouvelle loi sur les colis, des mesures ont été introduites pour améliorer les conditions de travail des livreurs de colis. L’un des principaux changements concerne l’obligation d’enregistrer le temps de distribution.
Mais quelles en sont les implications exactes ?
Dorénavant, les coursiers, leurs donneurs d’ordre ou les sous-traitants doivent enregistrer le temps consacré à la livraison de colis. Cet enregistrement commence lorsque la livraison commence et s’arrête lorsque la dernière commande a été livrée. Cela permet aux pouvoirs publics de mieux contrôler l’indemnité minimum pour les coursiers et les limites en termes de durée de travail.
L’enregistrement n’est pas nécessaire lorsque le véhicule est équipé d’un tachygraphe et relève de la législation européenne relative aux temps de repos et de conduite. Pour tous les autres cas, l’enregistrement du temps doit être effectué sur le site www.belparcel.be, un système qui sera renouvelé le 1er avril 2025.
Pourquoi est-ce important ?
Le temps de distribution enregistré permet non seulement de vérifier si l’indemnité minimum est bien payée, mais facilite aussi le respect des limites fixées en matière de temps de travail. Ainsi, de nouveaux maxima entreront en vigueur le 1er juillet 2026 : maximum 9 heures par jour (à l’exception de deux jours par semaine où l'on peut aller jusqu’à 10 heures de prestations), 56 heures par semaine et 90 heures sur deux semaines consécutives.
Important pour les travailleurs : cette indemnité minimum n’a aucun impact sur votre salaire. Vous avez droit au barème salarial en vigueur dans le secteur. Les limites sectorielles en matière de durée de travail restent en vigueur, même avec les nouvelles règles d’enregistrement.
Soyez donc attentif et veillez à ce que votre temps de distribution soit correctement enregistré pour vous garantir une indemnité juste et une durée de travail correcte !
Le 29 septembre, Kathleen Van Brempt, tête de liste Vooruit à Antwerpen, s’est entretenue avec le Groupement professionnel Port de l’UBT. Durant cette rencontre organisée par le Comité exécutif de l’UBT, le groupe a abordé les défis auxquels les ouvriers portuaires et le port sont confrontés, en perspective des élections du 13 octobre.
Des thèmes tels que la croissance du travail de plateforme et l’impact des problèmes de mobilité ont été longuement abordés. On s’est également attardé sur l’accessibilité du port pour les travailleurs, les frais de parking et le rôle des transports publics. Kathleen a souligné l’importance de la collaboration pour œuvrer à la sécurité et à l’avenir du port.
Cet entretien a été une belle occasion d'échanger des points de vue et de souligner les intérêts des ouvriers portuaires, en vue de la prochaine législature à Antwerpen.
L'UBT Port d'Antwerpen organise régulièrement un roadshow sur les quais afin d'être proche des ouvriers portuaires. Récemment, les initiateurs Kevin Verrept et Kevin Verhaegen se sont rendus au MPET avec le mobil-home, d'abord au K1718 et ensuite, pendant le changement d'équipe, au K1742. Les ouvriers portuaires pouvaient y passer pour boire un verre et discuter, demander des informations ou signaler des problèmes.
Kevin & Kevin sont clairs : « Bien que le port d'Antwerpen soit grand, le lien entre les ouvriers portuaires et le syndicat reste essentiel. En nous rendant sur les quais avec le mobil-home, non seulement nous attirons l'attention, mais les ouvriers savent aussi où ils peuvent facilement nous trouver. Cette initiative est très appréciée, surtout dans un contexte de circulation de plus en plus difficile. Les questions posées sont variées. Elles portent souvent sur le quai où les ouvriers portuaires travaillent, mais aussi sur des sujets tels que les vêtements de travail ou la sécurité. Il peut s’agit aussi tout simplement de petites discussions qui permettent de relâcher la pression. Le mobil-home offre un lieu accessible pour toutes ces interactions.
De plus, nous sommes souvent interrogés sur des questions d'actualité. Par exemple, nous constatons que la quantité de travail sur les quais, l'afflux de nouveaux ouvriers portuaires et les récentes élections ont été des sujets brûlants au cours des derniers mois. Il y a toujours quelque chose à dire ! »
Gardez un œil sur nos réseaux sociaux pour savoir quand nous passerons vous voir.
À l'UBT Secteur Maritime, nous considérons que la complexité croissante du travail frontalier et des questions fiscales constitue un défi majeur. La mobilité croissante des travailleurs en Europe nécessite des connaissances et un soutien spécialisés. Pour mieux guider nos membres dans cette démarche, nous avons décidé de renforcer notre équipe avec un jeune talent.
Nous sommes donc heureux d'accueillir Brent Jansen en tant que collaborateur sociojuridique. Fort de ses expériences dans les services sociojuridiques et dans le secteur maritime, Brent jouera un rôle crucial dans le soutien apporté à nos membres en matière d'emploi frontalier. Brent : « Mon but, c'est d'aider les travailleurs à comprendre les réglementations souvent déroutantes qui entourent le travail frontalier, afin que leurs droits soient préservés. »
Son expertise nous permettra de répondre encore mieux aux besoins fiscaux et juridiques des travailleurs belges et européens, et de renforcer nos services.